Mebzon est évoqué dans cet ouvrage destiné aux collégiens. Nous sommes ravis !
Le dossier de presse du Conseil général :
Mebzon est évoqué dans cet ouvrage destiné aux collégiens. Nous sommes ravis !
Le dossier de presse du Conseil général :
Mebzon dans la Presse locale
Nous sommes en OCT 2010, les échafaudages pour la tour d’escalier viennent d’être posés.
Nous y sommes, voici nos premiers pas sur WordPress.
Un an après nos débuts sur Blogger lors de l’anniversaire d’Isabelle. Souvenez-vous !
http:\\mebzon.blogspot.com
Voyons si nous allons nous en sortir !!!
Christophe
Nous avons sauté de joie quand nous avons reçu ces clichés, datant de 1932,
issus des Archives Départementales de l’Orne. Clichés effectués par Gabriel HUBERT,
personnage passionné d’histoire locale et ayant travaillé pour le magazine « Le Pays Bas Normand ».
Inauguration de l’épi de faîtage en présence de Mr B. , Hubert ainsi que les correspondants du Ouest France et du Publicateur qui ont eu la gentillesse d’accepter notre invitation.
L’atelier « torchis » aura bien lieu lors des prochaines Journées Européennes du Patrimoine 2011.
Celui-ci consistera à refaire le plancher de la tour d’escalier.
La participation des visiteurs est souhaitée !
Prévoir la tenue adéquate !
En attendant un peu de lecture …
Sauf évènement de dernière minute nous devrions participer aux prochaines Journées du Patrimoine qui auront lieu le 17 et 18 Septembre 2011.
Si vous décidez de nous rendre visite, prenez soin de visiter également la chapelle d’Etrigé située à quelques centaines de mètres de Mebzon en direction de Sept-Forges.
Cette chapelle est vraiment curieuse.
Cliquez sur l’affiche ci-dessous pour prendre connaissance du programme dans l’Orne.
Cette cheminée se trouve aujourd’hui dans le Manoir de la CHASLERIE.
Nous espérons qu’un jour celle-ci puisse réintègrer son emplacement d’origine…
En passant, quelques infos sur le côté féminin (à gauche) et masculin (à droite) des cheminées ou des coussièges.
Éléments issus du document ci-dessous au sujet du Manoir de la BOISNERIE :
Cliquer pour accéder à 16-19.pdf
« Autour de la fenêtre, l’homme et la femme prenaient du repos ou réalisaient de petits ouvrages mais chacun à leur place. Dans l’embrasure, la femme s’asseyait à gauche sur un coussiège taillé dans la pierre, moins massif que celui de droite réservé à l’homme.
On retrouve cette disposition autour d’un remarquable lavabo aménagé dans l’épaisseur du mur. Son arc en plein cintre repose sur des piédroits qui s’interrompent à hauteur d’une autre banquette moulurée. Au sol, une piscine recevait les eaux après la cuisine ou la toilette.
Face au lavabo, la vie s’organisait aussi autour d’une grande cheminée gothique. Des détails stylistiques ornent les arrêts des angles abattus des piédroits : À droite, face à l’homme, un décor végétal (ou bien une flamme ?). À gauche, face à la femme, des symboles phalliques beaucoup plus explicites. Si les deux sexes sont ainsi représentés, ce n’est pas par grivoiserie. À l’époque, la fécondité était une nécessité pour perpétuer les générations, tant l’espérance de vie, particulièrement celle des nouveaux nés, était courte. Il s’agissait donc de rappeler constamment à la femme du foyer que son rôle était avant tout de procréer.
Malgré les quatre cheminées du manoir, on estime qu’au cœur de l’hiver, la température intérieure devait rarement dépasser cinq degrés. Toutes les fenêtres étaient donc percées au sud et disposaient d’un jeu de volets intérieurs. Au nord étaient disposés la tour et le cellier, pour lequel la fraîcheur convenait. »